Ce projet initié par la Banque mondiale, la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Togo, vise à contribuer à l’atténuation des risques climatiques, des effets des situations de fragilité de conflits et de violences auxquelles sont exposées les communautés des régions frontalières Nord, a expliqué l’expert en développement qui a conduit la délégation du COSO, Zokou Patrice.
M. Zokou a souligné qu’il s’agit concrètement, de développer l’accès des populations aux services sociaux de base et faciliter le développement économique et social par le financement des groupements d’intérêts économiques, les activités des femmes et des jeunes.
La rencontre avec les services techniques déconcentrés de l’État avait pour objectif de mieux imprégner ces structures qui sont les partenaires de mise en œuvre du projet, dans la région du Bounkani.
D’un coût global de 87,9 milliards de Francs CFA, le COSO a une durée de cinq ans (2022-2027). En Côte d’Ivoire, le projet est actif dans les districts du Zanzan, des Savanes, du Denguélé et du Woroba.
Source (AIP) - Bouna, 02 fév 2023